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Les compléments capillaires face à la maladie

Recourir à ce genre d’artifice revient à se rajouter des cheveux. C’est une solution qui permet de cacher une calvitie, une perte de cheveux suite à un problème de santé, un traitement médical, chimiothérapie, radiothérapie. Les compléments capillaires s’adaptent à vos besoins avec aisance.

Les bienfaits des compléments capillaires

Il existe des compléments capillaires en cheveux naturels ou synthétiques. Quel que soit le modèle que vous choisirez, sachez que vous aurez la possibilité de le personnaliser. Avec lui, vous aurez l’impression de retrouver vos propres cheveux. Vous pourrez les coiffer, faire un brushing, utiliser un fer à friser, à lisser. Les compléments capillaires conçus avec des cheveux naturels sont plus résistants et plus élégants. Toutefois ce genre de modèles demandent un entretien régulier et ils peuvent coûter jusqu’à cinq plus cher par rapport à une prothèse en cheveux synthétiques. Pour changer de look, les plus jeunes ont souvent recours à ce genre d’artifice. Les compléments capillaires restent néanmoins des accessoires très utilisés pour faire face à la maladie.

Une solution qui donne d’excellents résultats

Il existe aujourd’hui plusieurs solutions pour cacher une calvitie, la greffe, la dermopigmentation, mais le complément capillaire est le plus utilisé lorsque l’on veut faire face à la maladie. La perte de cheveux est souvent vécue comme un véritable handicap. Pour pallier à cela, les spécialistes ont conçu des compléments capillaires. C’est un implant non chirurgical réalisé pour toute personne qui souffre de calvitie. Que ce soit à cause de troubles médicaux, de traitement ou à la suite de maladies chroniques, le complément capillaire est une bonne alternative. Il existe quatre types de prothèses, en polyuréthane, en mono-filament ou mixte. Le remboursement des compléments se fait une fois par an sur l’obtention d’une ordonnance médicale délivrée par un médecin ou un spécialiste. Toutes les prothèses au-dessus de 700 euros ne sont plus remboursées.

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